samedi 13 octobre 2012

Le peuple palestinien est le seul peuple victime d’un génocide dont la population double tous les 15 ans !



Certains crient à qui veut l’entendre qu’un peuple imaginaire, issu d’un pays imaginaire est victime d’une injustice qui ne peut elle aussi qu’apparaitre imaginaire.

Voilà le « paradoxe palestinien », à partir d’une situation inventée de toutes pièces, encouragée par la lâcheté de la communauté internationale, incapable de faire respecter ses propres décisions ayant la force du droit, les « palestiniens » focalisent à eux seuls et de manière permanente l’intérêt du monde entier, et ce depuis 60 ans.

N’existerait-il plus aucune autre injustice ou cause sur cette planète qui mériterait un éclairage particulier, même temporaire, même partiel ?

Les « palestiniens » seraient donc les uniques victimes permanentes, presque patentées sur cette terre ou comme tout un chacun le sait, l’injustice n’existe pas, et puis pourquoi revendiquer quand on est Tibétains ou Tamoul, Haïtien ou Darfouris, puisque n’étant pas musulmans votre cause ne trouvera aucun écho en occident ou la paix sociale s’achète au prix des plus basses compromissions.

La débauche de moyens financiers mis à disposition d’une propagande omniprésente passée maitresse dans l’art de la victimisation, relayée par la somme des haines, parfois séculaires, antisémites, antisémitisme qui semble être le carrefour moderne ou se rencontre frustrations, barbarie, arriération et mysticisme moyenâgeux.

Et bien soit cédons nous aussi, dans un raisonnement qui ne peut être que par l’absurde, à la pression conjuguée de la bêtise et de l’argent de monarques régnant sur des royaumes dont les mœurs remontent à l’Age de pierre.

Alors oui je l’affirme à mon tour, les « palestiniens » sont les victimes de toutes les pires injustices de l’histoire de l’humanité à travers les siècles, au diable l’esclavage des romains, ridicule les mises à sac des huns, obsolète les massacres de saxons, dépassé le tiers de la population mondiale agonisant sous les flèches mongols, infinitésimale l’esclavage des africains, et j’en passe, non décidément rien n’égale l’incommensurable injustice faite au « peuple palestinien ».

Et tous les médias occidentaux reprennent sans relâche l’insupportable complainte de ces gémissants bien portant, certains par naïveté, d’autres par parti pris, tous par préjugés, et n’écartons pas la dose de cynisme nécessaire pour faire triompher le mensonge sur la vraie douleur.

Et au diable si finalement à part une poignée d’excités, trouvant l’occasion de vomir leur haine tout cela n’intéresse pas grand monde, qu’importe si à part une communauté juive sur les dents, agressée, mise en danger existentielle, personne ne voit le danger que font courir une telle médiatisation abusive.

Que penser de l’effarante masse d’informations déversée sous forme de débats, documentaires, reportages, articles, interviews, fictions, toutes toujours plus agressives, plus vindicatives, dont certaines s’apparente enfin a des appels à la haine et comme cela s’est produit dernièrement, au meurtre.

Et rien ne semble calmer la démagogie des diffuseurs en mal d’audience, prêt à diffuser chaque ineptie pouvant leur assurer un dixième de part d’audience supplémentaire auprès de la masse débilitante des faibles d’esprits qui se sont perdus dans les filets de la machine de propagande « palestinienne » construite avec les millions d’euros des monarchies pétrolifères.

Et l’on pourrait penser qu’une telle débauche de moyens soit mise à la disposition d’une propagande dénonçant un crime unique dans les annales de l’humanité, mais que penser quand on constate que la guerre civile algérienne de 1992 à 2000 a fait 200.000 morts, qu’au Darfour 300.000 personnes sont mortes sous les coups des hordes arabes racistes et criminelles manipulées par le barbare El Béchir, combien de cinghalais et de tamouls sont morts au Sri Lanka, et la liste serait sans fin si notre petit conflit Israélo Arabe ne venait pas l’interrompre, imposant avec force ces 85.000 victimes en 64 ans dont 35.000 juifs, mais où est donc ce fleuve de sang dont on nous parle à longueur de journée, un algérien, un tchétchène, un kurde, aurait-il moins de sang en lui qu’un « palestinien » ?

Malgré toute l’énergie qu’Israël est accusé de mettre pour commettre un génocide, un holocauste même, sur ce pauvre « peuple », elle n’arrivera sans doute jamais à éliminer, et de loin, plus de « palestiniens » que ne l’ont fait avec constance et motivation tous les régimes arabes de la région.

La preuve formelle étant que ce « peuple palestinien » est le seul peuple victime d’un génocide dont la population double tous les 15 ans !!!

Mais le monde musulman traumatisé par sa lente et inexorable décadence a défini comme l’unique solution à ses frustrations civilisationnelles, la destruction d’Israël, et cette destruction doit être totale, sans appel, ouvertement génocidaire, d’inspiration babylonienne ou romaine, les juifs ne devraient plus être en mesure de pouvoir récupérer le territoire volé, spolié, occupé, pillé, déjudaïser pour finalement être laissé à l’abandon par une population, hétéroclite, composée d’individus venant des quatre coins de la région, n’ayant pour seule unité qu’une religion à l’interprétation dégénérescente, voulant se donner l’aspect d’un peuple ethniquement cohérent comme le canada dry sert d’ersatz de whisky à des enfants en mal d’imitation de leurs parents.

Les stakhanovistes de l’antisionisme, vomissant de la haine comme d’autres construisent des murs qui ne serviront pas à les protéger, ont établi aux yeux de l’opinion les rôles de chacun, pourquoi objecter alors qu’Israël est une démocratie quant au mépris de la plus élémentaire évidence on vous répond « apartheid », pourquoi mettre en avant le niveau de vie des arabes israéliens quand on vous réponds « camps de réfugiés » au Liban sans s’interroger le moins du monde sur la responsabilité de « l’état » libanais, si on peut appeler cela un état, dans le fait de laisser vivre un million de personnes comme des chiens depuis 60 ans, en restreignant leur accès au progrès social tout en maintenant une importante charge fiscale sur eux.

Non décidément le fleuve de sang des suppliciés à travers le monde n’a que peu de valeur face à l’éraflure que constitue la question « palestinienne » devant l’histoire de l’humanité.

A une époque pas si lointaine, tout un pan de la politique française s’était bâtie autour du fameux « il ne faut pas désespérer Billancourt », sous entendant ne démoralisons pas la force vive ouvrière de la France, ce mot d’ordre s’est depuis un peu galvaudé et, Billancourt transformé en banlieue huppée de la capitale, c’est maintenant Epinay ou Vaulx en Velins qu’il ne faut pas désespérer, la force vive n’étant plus symbolisée par les ouvriers mais par une jeunesse se déracinant plus qu’elle n’est déracinée, s’excluant plus qu’elle est exclue, habile à saisir promptement les excuses que lui fournit une classe politique renouant avec ses traditions collaborationnistes, aux mépris des valeurs qui sont censées avoir fait l’honneur de ce pays.

Cette même population ou l’on croit voir la vigueur d’une pseudo pluralité culturelle, sans imaginer que cela ne soit qu’une mise en joue mortelle par ceux que l’on croyaient manipulables et qui exercent désormais un implacable chantage sur la société et la paix civile.

Car un jour il faudra que les apprentis sorciers, à courte vue, quand ils voient, à déficience auditive quand ils entendent, comprennent qu’en éructant des images et des propos anti israélien, ce n’est pas Israël qu’ils attaquent mais leur propre schéma de société occidentale, que même l’idéologie gauchiste la plus simpliste en cours chez la plupart d’entre eux, ne serait pas capable de faire renoncer à leur douillet confort.

Oui, aujourd’hui l’idiot n’est plus le banlieusard sans conscience politique, mais le parisien à l’abri devant les murailles de sa suffisance qu’ils croient hautes et épaisses et qui s’effondrera comme des brindilles sèches au moindre assaut d’importance, le banlieusard a pris de l’avance en comprenant qu’Israël d’une part, et le judaïsme d’autre part représente la première et quasiment seule, ligne de défense devant l’islam intolérant, violent, ségrégationniste et parfois génocidaire.

Aux yeux de cette population, cette victoire dans cette double lutte marquera pour toujours l’hégémonie de l’islam sur le monde et symbolise les deux phases stratégiques ou celui-ci doit absolument s’imposer, la lutte sur Israël en est le symbole nationaliste, la lutte contre le judaïsme en est le symbole religieux.

Cette conviction en est renforcée par deux analyses que le Mahométan croit infaillible, ou le manque de profondeur est, espère-t-il, compensé par la rhétorique, abattre Israël c’est abattre la société judéo chrétienne et donc le fondement de la nation, abattre le judaïsme permet aussi de couper le christianisme de sa racine indispensable et de lui enlever toute légitimité.

Problème que n’a pas l’islam qui se base sur des écritures plagiées puis falsifiées dans un but politique.

Voilà en quoi continuer à s’acharner sur Israël ferait porter sur les médias occidentaux une grande part du futur malheur de leurs enfants, mais ces médias ont-ils suffisamment d’humilité et de clairvoyance pour l’admettre ?, rien n’est moins sûr, surtout quand votre éducation est pétrie de préjugés aux racines profondes.

Pourtant les médias n’ont finalement qu’à retourner à leurs missions originelles, l’information, au lieu de vouloir conserver à tout prix un vernis déjà craquelé, pourquoi ne pas mettre l’accent sur les incohérences de l’islamisation et de sa rhétorique œcuménique, pourquoi ne pas expliquer aux africains que la traite orientale africaine organisée par les arabes à fait deux fois plus de victimes que la traite occidentale.

Pourquoi ne pas expliquer à la communauté indienne que la domination de l’islam en Inde s’est faite au prix de 40 millions de morts en 400 ans, pourquoi ne pas expliquer aux pakistanais qu’ils ne sont musulmans qu’au prix du sang de leurs ancêtres.

Pourquoi ne pas expliquer aux kabyles et aux berbères la condition de leur islamisation, et les exactions qui l’ont accompagnée.

Pourquoi ne pas expliquer aux antillais que c’est avant tout aux marchands d’esclaves musulmans de côte d’Ivoire et du Sénégal qu’ils doivent leur statut d’ex esclave.

Pourquoi ne pas expliquer aux philippins et aux indonésiens l’esclavage moderne dans lequel est encore réduit des centaines de milliers de leurs compatriotes dans les pays du golfe.

Plus près de nous pourquoi ne pas expliquer aux bosniaques et aux albanais ce que fut vraiment l’occupation turque, et l’obligation d’embrasser l’islam pour pouvoir obtenir le moindre avantage de l’occupant.

Plus près encore pourquoi ne pas réellement expliquer aux faibles qui se convertissent et se radicalisent en France qu’ils sont des cibles faciles aux services d’une idéologie et une culture qui est une insulte permanente à la mémoire de leurs aïeux.

Amusant alors de voir tous les peuples du monde se soulevant devant cet insidieux impérialisme qui sous couvert d’apporter la paix à l’humanité, ne lui a imposé depuis qu’il existe, que la guerre, l’intolérance, et la stagnation.

Mais tout cela je doute qu’un jour les médias occidentaux aie la volonté de le souligner, Israël est une cible bien trop facile à toucher pour qu’ils en changent, la vision à courte vue est bien trop confortable, bien trop rassemblant, pour que l’on change les clichés mensongers qui servent à la décrire pour les remplacer par la simple objectivité de la vérité.

Quel reportage ou n’importe quel autre forme d’information, mettra réellement en avant la réalité du terrain, celle qui affirme et démonte qu’il vaut mieux être arabe en Israël que dans un pays arabe, et qu’il vaut mieux être arabe en Israël que dans la plupart des pays occidentaux, qu’en Israël les musulmanes peuvent sortir voilées dans la rue sans être prises pour cible par une police préférant s’en prendre à une femme qu’à une bande de sauvageons de cité, qu’en Israël la construction d’une mosquée pour que les musulmans israéliens prient dignement ne devient pas une affaire d’état ou tout un tas d’hommes politiques tiennent des propos nauséabonds afin de complaire à un électorat puant de haine et de racisme.

Qu’en Israël les musulmans israéliens votent, travaillent, se soignent dans les mêmes conditions que les juifs quand en occident ils sont victimes d’une discrimination à l’emploi permanente et que si on accepte volontiers qu’ils paient leurs impôts, la seule évocation qu’ils puissent intervenir dans les affaires de la ville où ils vivent et où ils participent à l’économie entraine des débats ou les propos racistes tenus par certains sont dignes des plus belles gastro entérites.

Qu’Israël est la seule nation à tenir ses engagements financiers vis-à-vis des pseudos « palestiniens », quand nombre de promesses occidentales et plus souvent encore, arabes, restent lettre morte.

Qu’Israël n’a jamais procéder à la moindre épuration ethnique alors qu’un millions de juifs installés dans des pays devenus musulmans bien avant l’avènement de l’Islam n’ont eu le choix qu’entre la valise ou le cercueil, quand la valise elle-même n’a pas servi de cercueil, qu’au contraire de la conquête du quartier juif de la vieille ville de Jérusalem en 1948 ou tous les juifs furent regroupés puis expulsés de logements qu’ils n’ont jamais cessé d’occuper, la reconquête de la capitale d’Israël en 1967 n’a jamais fait l’objet de la moindre purge de sa population arabe.

Qu’Israël n’a jamais forcé le moindre arabe a quitté sa maison en 1948, mais que ceux-ci l’ont fait sur ordre de leurs leaders afin de faciliter « l’extermination et le rejet à la mer de la vermine juive ».

Quel reportage osera dire que les juifs ne développe aucun programme d’éducation enseignant la haine des arabes et de l’islam, il est vrai que la réalité israélienne pourrait se suffire à elle-même, au contraire des médias arabes diffusant en quasi permanence des appels aux meurtres de juifs.

Quel reportage osera montrer l’impact des thèses révisionnistes, négationnistes et complotistes sur la population musulmane des cités françaises.

Quel reportage pourra aussi démontrer l’antisémitisme des dirigeants musulmans, du fréquentable libanais au putride iranien qui si ils revendiquent la pénalisation du blasphème pour leur propre religion rivalisent d’insultes envers le judaïsme et ses symboles, quand ils n’insultent pas les morts…

Quel reportage osera démontrer clairement la collusion entre les thèses racistes identitaires du front national et l’idéologie gauchisante racoleuse pro palestinienne qui se rejoigne dans l’antisémitisme comme le grand mufti de j Jérusalem se senti une communauté d’esprit avec le nazisme…

Un jour il faudra bien désespérer Epinay ou Vaulx en Velins ou ce sont les banlieues et la haine qui y règne qui désespéreront la France.

Serge Salfati

http://www.europe-israel.org/2012/10/le-peuple-palestinien-est-le-seul-peuple-victime-dun-genocide-dont-la-population-double-tous-les-15-ans/

1 commentaire:

  1. Bonsoir Monsieur Cattan, je trouve assez amusant de voir sur votre blog plusieurs de mes textes, dont celui ci, alors même que vous avez cru bon de me retirez de vos contacts à la demande d'une de vos amis qui se plaignit de moi auprès de vous.

    vous n'avez pas hésité une seconde, sans même chercher à connaitre la situation à opérer cette censure, sans doute pour lui être agréable.

    quelques jours après je découvre que vous diffusez les idées pour lesquelles vous m'avez blacklisté !!! n'est ce pas manqué singulièrement de constance et de cohérence ?

    bien à vous

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