lundi 7 mai 2012

RENCONTRES. Par Somelier Richard...








RENCONTRES.Le 7 mai 2012...


Lorsque le cercle de mes amis ( ies) s’élargit.
Le hasard fait bien les choses. Sur invitation de mon ami Sylvain Sroussi, je me retrouve comme prévu à la rue Ramponneau chez ‘Bebert.’ En ce lundi béni. 
Je n’ai pas pu me présenter à l’heure exact edu rendez-vous, à l’heure de la commande mais une heure plus tard, pour un café. J’ai vu les tranches de pastèque passer, les tranches de ananas, les fraises mais ma timidité m’a interdit d’y toucher. 


Je pose ma cylindrée, une HARLEY DAVIDSON sur le bord du trottoir et je pousse la porte de ce fameux restaurant au demeurant fort discret, bien loi de la zaza de chez Gabin. Que je me pousse pour m’asseoir, moi qui suis habitué au grand large, je me retrouvé ce fameux midi là, coincé ma femme et moi entre ELSA, dos à la vitre, Michelline AZOUEREL, sa sœur, Anita Birés. Coincé dans un espace de UN METRE CARRE, tables et chaises compris, je ne compte les plats, les fourchettes et tout le tintoin. 


Michelline dieu bénisse pour elle, a bouffé 3 briks aux pommes, un plat de pâtes, une belle grillade et tout le plat de harissa. Elsa, au régime, s’est contentée juste d’un casse croute, plus deux banatages. Anita bien modeste, s’est fait très discrète, juste deux briks aux pommes, deux banatages, un casse-croute ouvert comme je ne vous dis pas. Bref Meyer juste un casse-croute. 
Ma femme et moi, on s’est contenté d’une banatage à deux avec deux gouttes de citron. Ce qui ne ma pas empêché de payer 60 €. Soit 30 € la belle fortune dans l’huile frite. 


Donc revenons à cette seconde rencontre où j’ai pu être présenté par l’entremise de SYLVAIN SROUSSI, je suis devenu son biographe depuis, 
A Monsieur JEAN CHEMLA, un jeune premier dans toute sa verve. 
A notre champion SYLVAIN BITTAN, au grand palmarès,
A Monsieur GEGE CATTAN celui qui honore mes articles dans sa rubrique ANTIPODES, un homme charmant au demeurant, 


A Monsieur EDGAR FELLOUS, monsieur YE HASSRA, juste deux mots et je me barre, à nous de faire le reste, 
A Monsieur SYLVAIN SROUSSI, acteur au 180 films. Quant aux femmes j’ai reconnu madame HUGUETTE SARFATI, Madame DENISE CHIARELLO, Madame LYNDA BOCCARA, MADAME LUCE COHEN nouvelle venue sur FB. Les autres suivront. 


Une ambiance fort sympathique qui m’a très vite mit dans l’ambiance car voyez vous chez les tunes, il n’existe pas de constipés, de coincés. Franchement le courant passe comme une lettre dans une boite à la poste tune.
J’ai apprécie surtout leur franchise, cette chaleur, cette convivialité et aussi l’appréciation qu’ils qu’elles avaient tous envers moi. Heureux et heureuses, tout comme moi, d’avoir échangé quelques impressions. 


Heureux et heureuses surtout de découvrir le SOMELIER RICHARD. Un vrai français descendant des apôtres de la HARA et de SIDI MARDOUM. Tout de go qu’on m’appelle ALBERT OU BREITOU que je demande, un prénom ce que j’affectionne beaucoup. 
Aucune froideur, aucune rigidité rien que du naturel, comme on l’aime. 
40 ans plus tard, bien que la plupart d’entre eux soient partis vers leur 17 ou 18 ans, ils elles ont gardé en eux en elles, cette grâce divine qui fait de nous juifs tunisiens l’auréole, l’étoile lumineuse qui ne s’éteindra jamais sous notre nouveau ciel gris mais bleu dans notre for intérieur, comme l’est notre sang. 


La noblesse, LE BNEIT GOUTIREJ, appartenant à une caste bien précise, notre simplicité équivaut à la noblesse de notre langage. Un langage judéo, ce ciment qui ne s’effrite pas malgré nos âges et notre raison d’être dans ce pays d’accueil, LA France de toutes les tendances sauf de la notre, en attendant d’aller vers le vrai de chez le vrai. 
Merci chers amis. 


Merci de vous connaitre car enfin on peut mettre un visage sur le profil de celui qui tient sa maman trois mois avant qu’elle fasse le grand voyage. RM.




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